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Monographie de Ceillac par Tivollier : Monographie (pdf 157 pages)

En 1976, à la demande et avec le concours de l’Association des Amis de Ceillac, les éditions LAFFITE REPRINTS de Marseille réimprimaient la monographie de Ceillac publiée en 1926 par Jean Tivollier, membre de la Société d’Etude des Hautes-Alpes.

Pour satisfaire les demandes qui ont été faites, les Amis de Ceillac ont décidé de rééditer cet ouvrage qui tire sa richesse de l’exploitation méthodique de l’inventaire des archives de Ceillac réalisé par l’abbé Guillaume.

Il s’agit bien d’une réédition du texte original, sans modification aucune, exceptée la présentation plus synoptique.

Les exemplaires originaux n’étant pas exploitables pour une réalisation de cet ouvrage avec les moyens techniques actuels, le texte a dû être entièrement dactylographié et recomposé.

Ce long travail, important et fastidieux, a été réalisé bénévolement par MM. Basquin, Boudignon, Chavrot et Troussier. Qu’ils en soient ici chaleureusement remerciés.

Philippe Lamour : plaquette (pdf 48 pages)

Philippe LAMOUR s’attacha avec la constance et le bon sens qui étaient siens, à ce que le déve­loppement de Ceillac et du Queyras permette à chacun d’en devenir un acteur à part entière.

L’orientation donnée il y a 30 ans a permis l’évolution d’un mode de vie conforme aux désirs, besoins et réalités économiques d’une société.

Précurseur de l’Aménagement du Territoire, Philippe LAMOUR mit en application au travers de son œuvre une véritable politique de la montagne au bénéfice de ceux qui y vivent.

Son action demeure exemplaire et unanimement reconnue. Il permit ainsi à ceux qui ont vécu cette transition capitale pour leur avenir, de pouvoir continuer à “Vivre au Pays”, d’établir leur famille et d’y fonder leurs espoirs.

Aujourd’hui la commune de Ceillac, forte d’une jeunesse largement représentée et riche d’une expé­rience acquise avec sagesse, est le témoin du succès de l’action de celui qui restera pour tous un homme hors du commun.

A cet homme exceptionnel qu’un profond et mutuel attachement lia à tout un village dont il prit en main la destinée, cet ouvrage est l’hommage de tous ses habitants.

Antoine REYNAUD, Maire de Ceillac en 1988

10 ans d’exposition 2006~2015 : rétrospective

Bernard et Jacqueline Busser retracent avec ce livret 10 ans d’exposition à l’église Sainte-Cécile…

L’église Saint-Sébastien : plaquette

L’église Saint-Sébastien actuelle daterait du XVème siècle. Mais déjà existait à Ceillac une église en 1118 ; elle dépendait de l’Abbaye de Saint-André de Villeneuve.

Si l’on en juge par la population du village à cette époque, il est incontestable qu’il existait au Moyen-Age une communauté chrétienne importante. Des actes de 1328, 1474 et 1516 font état de « chapelain », puis de « curé ».

L’église fut consacrée en 1542. Aucune pièce ne fait état des dimensions de celle-ci, mais il est certain que des modifications, des remaniements, des agrandissements eurent lieu au cours des siècles comme le prouvent, s’il en était besoin, l’architecture du bâtiment et l’emploi des divers matériaux.

Le premier arc du bas de l’église porte la date de 1667. La voûte, avant le chœur, sur le côté nord, celle de 1755.

Les piliers, surtout ceux du nord de la nef, sont bien anté­rieurs. Peut-être du XII ème, voire du XI le siècle, bien qu’il soit difficile de dater à cette époque en matière d’architecture. L’évolution d’une région à l’autre, surtout dans ces pays isolés, pouvait différer de plusieurs siècles….

Le père Fournier, un maire exceptionnel, par Philippe Lamour : plaquette

Jean-Antoine-Joseph Fournier naquit le 15 août 1769, c’est- à-dire le même jour que Napoléon Bonaparte. Il en tirait une naïve fierté. Elle s’exprima notamment par l’adoption, jusqu’à la fin de sa vie, d’un costume évoquant celui de l’Empereur qui, rapide­ment démodé, contribua à répandre sa réputation d’originalité bien au-delà des frontières de sa province.

Celui qui devait devenir le maire légendaire de Ceillac y passa sa jeunesse en aidant son père dans les travaux agricoles et en acquérant une éducation sommaire. Il passait la saison d’hiver chez ses oncles, tous deux prêtres dans des paroisses de la proche vallée de la Durance, l’un à Saint-Crépin, l’autre à Châteauroux, sur la route d’Embrun.

La personnalité du jeune garçon s’affirma très rapidement et la Révolution lui fournit l’occasion de commencer sa carrière qui devait l’associer, pendant cinquante et un ans, à l’administration de la commune de Ceillac. C’est en effet en l’an III de la République que le jeune Antoine- Joseph Fournier est nommé agent municipal. Il a, à l’époque, 23 ans.

Les chapelles, oratoires et croix de Ceillac : plaquette

Vous, Ceillaquins ou vacanciers qui sillonnez chemins et sentiers de nos vallées, vous êtes-vous, un jour ou l’autre, posé des questions sur ces édifices ou symboles qui font partie de notre patrimoine ?

Cette modeste publication que vous allez parcourir n’est pas un guide pratique pour visiteur. Certes, les divers itinéraires proposés pourront être le prétexte à une “sortie” sur le terrain. Mais au-delà d’une promenade, somme toute très agréable, laissez-vous aller dans ces “cheminements”. Vous y découvrirez un peu ce qui fit notre village. Et sans doute y éprouverez-vous un peu d’émotion, à l’instar de nos deux “amis”, Anita et Guy, que nous remercions chaleureusement pour le remarquable travail accompli.